Dans ce texte, je vous parlerai de ma visite au Biodôme et de ce que j’ai aimé, moins bien aimé (à améliorer!) et les liens avec l’objectif de la vie aquatique.
Ce que j’ai aimé
Étant allé plusieurs fois au Biodôme, j’ai toujours visité la partie des expositions, mais ce que j’ai le plus apprécié de ma visite, c’est de découvrir l’arrière-plan de cet endroit qui regorge de secrets. J’ai bien aimé voir comment les vétérinaires et les biologistes de ce magnifique endroit les nourrissaient, en prenaient soin, etc. Ma partie favorite de la visite guidée, était l’animateur qui nous faisait la visite, car celui-ci nous montrait en détails comment chaque élément du Biodôme avait une importance capitale à la conservation des éléments de la faune et la flore en voie de disparition et à la recherche scientifique.
Ce que j’ai moins bien aimé (à améliorer)
Personnellement, je trouve qu’il aurait été mieux que la visite guidée dans les coulisses du Biodôme soit d’une durée plus longue pour que l’animateur puisse nous faire découvrir encore plus d’éléments sur ce lieu parce que c’est sûr qu’en moins d’une heure de découvertes, on avait pas tout vu. Également, je pense que même si c’est difficile de faire cela, les gens qui s’occupent de l’exposition auraient dû changer et modifier les contenus de la visite libre pour qu’elle soit plus intéressante parce que étant donné que je suis venu au Biodôme plusieurs fois, c’est un moins intéressant de toujours revoir la même exposition. Au moins si les personnes responsables de ceci n’avaient pas la possibilité de changer l’exposition, ils auraient pu au moins mettre les contenus à jour des panneaux explicatifs et des écrans interactifs.
Les liens avec l’objectif de la vie aquatique
Les liens avec l’objectif et la visite, est que cet organisme à but non lucratif se préoccupe de la conservation et de la reproduction de la faune marine et terrestre en agissant à l’aide de plusieurs moyens minutieux comme le suivi personnalisé de chaque espèces, des processus de réintégration à son milieu naturel lorsque l’espèce en question est conplètement rétablie, etc. Ils procèdent de la même façon que des chercheurs scientifiques qui s’aventurent sur le terrain, mais la seule différence, est que cela est accompli dans un lieu « partiellement fermé ».
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