Pour mon blog sur l’objectif qui m’interpelle le plus, j’ai décidé de choisir le thème sur la vie aquatique. PourquoI ai-je choisi ce thème? Laissez moi vous expliquer. Commençons par les causes principales de la disparition de certains animaux. Premièrement , il y a la pollution, cet enjeu peux conduire à beaucoup de dégâts, beaucoup d’animaux sous marins on été tués car ils avalaient ce que les humains jetaient dans l’eau où ils restaient coincés aux morceaux de plastique ou une fois une tortue a eu une paille coincé dans son nez et elle a du subir une opération. Pour moi, la vie aquatique est très importante même les plantes aquatiques tout autant que les animaux. Voici un petit article que j’ai trouvé sur ce site :
Site: http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/09/14/les-grands-animaux-marins-sont-plus-menaces-que-les-petits-par-la-surpeche_4997772_3244.html#3PQCIbwV2RzEC6KM
Article: Jamais la planète n’a perdu ses espèces animales aussi vite depuis la dernière extinction de masse, celle des dinosaures il y a 66 millions d’années. Alors que le taux d’extinction actuel serait de 100 à 1 000 fois supérieur au taux moyen naturel, un nouveau rapport de l’université de Stanford démontre que, dans l’océan, l’homme reste le principal responsable de ces disparitions.
Lire l’analyse : Quand l’océan se meurt, la planète aussi
Pour parvenir à ce résultat, les auteurs de cette étude américaine, publiée le 14 septembre dans la revue Science, ont observé l’évolution de la biodiversité marine au cours des six extinctions de masse de l’Histoire. Ils ont ainsi étudié le lien entre la menace d’extinction et certaines caractéristiques biologiques – comme la taille des animaux – pour deux des principaux groupes d’animaux marins, les mollusques et les vertébrés. « Nous avons utilisé les informations disponibles grâce aux fossiles pour montrer que ce qui se passe dans les océans en ce moment est complètement différent de ce qui se passait lors des précédentes extinctions », explique Noel Heim, coauteur et chercheur en paléobiologie.
En effet, leurs résultats montrent que l’océan moderne voit ses gros animaux disparaître à un rythme beaucoup plus élevé que les petites espèces. « Nous avons découvert que la menace d’extinction qui pèse sur les espèces marines est étroitement liée à leur taille, explique Jonathan Payne, paléobiologiste à l’Université de Stanford et coauteur de l’étude. Ce qui n’était pas le cas dans le passé. »
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