Suite à notre discussion, nous avons réalisé qu’acheter en grande quantité du jambon biologique, par exemple, pouvait revenir à un prix très compétitif par rapport au jambon industriel. Nous avons discutés des produits tels le café et le chocolat. Nous achetions déjà du café équitable mais certains chocolats ( comme Lindt) ne l’étaient pas. Nous avons donc pris une décision pour le bien de notre alimentation ( car les produits équitables sont souvent moins transformés) de n’acheter plus que du chocolat avec la certification » FairTrade ». Ensuite, nous avons discutés des produits locaux. En analysant le tableau que j’avais réalisé sur notre liste d’épicerie, nous nous sommes rendus compte que certains produits que nous achetions provenaient d’extrêmement loins et nécessitait un grand processus de transport. Ainsi, nous avons opté, par exemple, pour acheter les fruits durant leur saison de production au Québec et si ce sont des produits exotiques comme la mangue, de n’en acheter que de compagnies qui n’abusent pas de leurs travailleurs/ qui effectuent une production trop massive ( ex: Dole). Finalement, nous avons fait le point sur notre consommation de produits transformés et, à part les chips et les confitures, nous n’en consommons pas trop. Nous avons alors pris l’initiative de n’acheter que des confitures non-transformées industriellement mais notre seul point faible est que, de lorsque l’envie nous en prend, les Doritos ne pourront pas être éliminés de notre alimentation.
Bref, des changements dans notre consommation ont été effectués pour le bien de l’écologie, du travail équitable et pour notre alimentation saine.