1) Trouvez-vous que vous mangez santé à la maison? Oui, non, en partie? Expliquez en vous aidant de notions vus en classe, dans votre cours de science et faites des recherches. 75 à 100 mots.
Oui, je pense que je mange santé à la maison. Ma famille mange proportionnellement : on mange de la viande, des légumes, des fruits, des produits laitiers et des produits céréaliers. Aussi, je souviens que quand on avait un projet appelé « Projet Menu » en Science, dans lequel on devait mesurer et analyser des aliments qu’on mange durant une journée, ça montrait que je mange bien, en bonne santé.
2) Faites des recherches et répondez à la question suivante: Les aliments biologiques sont-ils nécessairement meilleurs? 75 à 100 mots.
Non, les aliments biologiques ne sont pas nécessairement meilleurs.
Premièrement, les recherches ont prouvé que les aliments biologiques n’ont pas plus de vitamines ou de nutriments que d’aliments réguliers.
Deuxièmement, c’est vrai que les aliments non-organiques ont 30% de chance que plus que ceux qui sont organiques d’avoir des pesticides, mais, comme il y a des mesures imposées par le gouvernement, c’est extrêmement rare qu’un aliment dépasse cette limite, et ce n’est pas prouvé si une si petite quantité de pesticides peuvent avoir un effet sur le corps.
En fait, ce qui est important n’est pas si un aliment est biologique ou non. Ce qui est important est hygiène (comment on traite l’aliment).
(Source : https://www.webmd.com/food-recipes/news/20120904/organic-foods-not-necessarily-better#1)
3) Aimez-vous les produits alimentaires transformés achetés par votre famille (les chips, les barres tendres achetés en magasin, les pizza en boîte ou autres repas congelés, les boîtes de céréales, les frites congelés, etc.)? Expliquez. Est-ce qu’il y a des modifications à faire selon vous et seriez-vous prêts à abandonner certains produits transformés au profit du ‘fait à la maison’? Expliquez. 75 à 100 mots.
Oui. Ma famille achète normalement du jus et des collations (biscuits, etc.) qui sont des produits alimentaires.
Selon moi, ça serait mieux si on fait nos jus et nos collations, mais je ne pense pas qu’on serait prêt parce que mes parents sont occupés et ils n’ont pas de temps pour faire des choses comme des biscuits. Pourtant, concernant le jus, notre famille boit du jus acheté pendant la semaine, mais pendant la fin de semaine, on boit du jus fait à la maison, car mes parents ont plus de temps. Aussi, ma famille ne mange pas souvent de produits alimentaires transformés comme un repas. On mange presque tout le temps des repas faits à la maison.
4) Seriez-vous prêts à ne manger que des aliments locaux et qui sont de saison?
Exemple: ne manger que des fraises du Québec dans la saison des fraises (ou les congeler/faire des conserves pour les manger en hiver). Donc, ne pas manger des fraises durant l’hiver qui proviennent de l’extérieur du Canada.
Expliquez. 75 à 100 mots.
Je peux essayer, mais non, je ne pense pas que je suis prête.
Premièrement, il y a beaucoup de végétaux qui ne poussent pas au Québec, comme des mangues, des ananas ou des oranges que j’aime beaucoup. Cependant, je peux essayer d’acheter plus local pour les végétaux qui poussent au Québec.
Deuxièmement, je suis Coréenne. À la maison, mes parents cuisinent des plats coréens. Beaucoup d’ingrédients de ces plats viennent de la Corée. Je pense que c’est donc impossible d’acheter uniquement local, car je ne veux pas abandonner ma culture.
Troisièmement, normalement quand on va acheter des produits, on regarde le prix et pas d’où ça vient. Manger uniquement local prend beaucoup d’efforts car il faut être toujours attentif aux lieux de provenance, et ça peut être tentant si le produit étranger est moins cher.
5) Quels sont les effets positifs du manger local sur notre économie et les impacts sociaux positifs? Environ 100-150 mots.
Il y plusieurs conséquences positives de manger local.
Premièrement, il y a des les effets positifs sur l’économie locale. Manger local encourage les producteurs locaux. Si chaque personne mange un peu plus d’aliments locaux, cela s’accumule et devient de grandes sommes d’argent (développement de l’économie local). Cela veut dire qu’il y a plus d’argent qui circule dans la région, ce qui est éventuellement profitable pour tous les habitants de la région.
Deuxièmement, il y a des impacts sociaux positifs. Encore, en achetant des aliments locaux, il y a plus d’argent circulant dans la société, créant un effet multiplicateur. Cela permet aussi de conserver le patrimoine local, comme le savoir-faire des agriculteurs, le paysage agricole de la région, etc. Manger local développe aussi le sentiment d’appartenance à la société.
(Source : Document « Théorie : Manger local » sur Classroom)