– 1.3. Dans votre blogue, répondez aux questions suivantes ci-dessous. Titre: Manger local et saine alimentation
1) Trouvez-vous que vous mangez santé à la maison? Oui, non, en partie? Expliquez en vous aidant de notions vus en classe, dans votre cours de science et faites des recherches. 75 à 100 mots.o
Je crois que je mange santé à la maison car non seulement la plupart des produits que je consomme sont non transformés/ biologiques. Je m’assure de consommer les aliments au sommet de leur valeur nutritive, c’est à dire à un niveau de cuisson qui ne réduit pas les nutriments qu’ils comportent. De plus, la fraîcheur de mes aliments est assuré soit par le fait qu’ils proviennent directement du Québec ou bien par des étiquettes indiquants la provenance et la date de production ou d’importation de ceux-ci. Finalement, nous tentons de maintenir une diète équilibrée ce qui nous force à acheter des produits naturels ou bien respectueux de l’environnement et bon pour notre alimentation.
2) Faites des recherches et répondez à la question suivante: Les aliments biologiques sont-ils nécessairement meilleurs? 75 à 100 mots.
Les aliments biologiques que ne sont pas nécessairement meilleurs. Il est vrai que ceux-ci nous protège à la fois des effets néfastes des pesticides sur notre santé mais aussi des répercussions environnementales de la production des produits de consommation transformés ou entretenus chimiquement. Toutefois, certains de ses produits peuvent permettre une péremption plus tardive des aliments et donc un maintien de la qualité alimentaire sur une plus longue durée.
3) Aimez-vous les produits alimentaires transformés achetés par votre famille (les chips, les barres tendres achetés en magasin, les pizza en boîte ou autres repas congelés, les boîtes de céréales, les frites congelés, etc.)? Expliquez. Est-ce qu’il y a des modifications à faire selon vous et seriez-vous prêts à abandonner certains produits transformés au profit du ‘fait à la maison’? Expliquez. 75 à 100 mots.
Malheureusement, mon palet est friand de tous ses produits qui sont à la fois transformés mais aussi peu nutritifs. Je crois que, malgré tout, une alternative pour moi serait de les concoctés moi même et de reproduire une saveur similaire sans qu’ils ai subit le processus de transformation. En plus, éliminer ses aliments ferait une pierre d’un coup en réduisant non seulement la production de produit polluants mais aussi en réduisant les aliments néfastes pour ma santé et non nutritifs.
4) Seriez-vous prêts à ne manger que des aliments locaux et qui sont de saison? Exemple: ne manger que des fraises du Québec dans la saison des fraises (ou les congeler/faire des conserves pour les manger en hiver). Donc, ne pas manger des fraises durant l’hiver qui proviennent de l’extérieur du Canada.
Expliquez. 75 à 100 mots.
Je consomme des produits congelés qui permettent une exportation moins massives des produits venant d’autres pays. Il est possible que pour le bien de certaines recettes j’achète des produits spécifiques venant d’autres pays mais je crois pouvoir dire que je serais prêt à réduire grandement ma consommation de produits étrangers lorsque ce n’est pas la saison.
5) Quels sont les effets positifs du manger local sur notre économie et les impacts sociaux positifs? Environ 100-150 mots.
Manger local permet d’encourager les compagnies d’ici. En les encourageant, on investit dans la chaîne de l’économie, c’est-à-dire que plus la demande est grande meilleure sera l’offre. Aussi, des installations comme des toits verts, des jardins communautaires et autres permettent de renforcer la cohésion sociale de manière à inclure tous et chacuns dans la conscientisation des enjeux économiques et environnementaux. Par la suite, la fraîcheur des aliments est garantie, ce qui plaît au consommateur qui va donc plus encourager l’économie. Finalement, l’équilibre entre la surconsommation et l’apport en marchandises est garantie par la production locale, souvent de petite à moyenne échelle.