Mise en situation:
Au siège de l’ONU à New York.
Imaginez que vous êtes un membre des nations unies et que vous deviez donner une conférence importante à différents décideurs politiques du monde entier sur le sujet de la traite des personnes. Que leur diriez-vous? Comment attireriez-vous leur attention? Quelles solutions proposeriez-vous pour amélioration la situation?
Tout d’abord je crois qu’il s’agit d’un problème que l’on devrait s’engager à régler. Il s’agit d’une situation sous estimé, il ne s’agit pas seulement d’un problème à l’échelle d’un pays, ni d’un continent, il s’agit d’un problème à l’échelle mondiale. Ainsi, il est important que toute les nations se réunissent pour mettre fin à la traite des humains.
J’aimerais aussi vous faire comprendre à quel point ce problème touche beaucoup de gens et d’endroit dans le monde. On pense souvent que les pays développés n’ont pas ce problème, cependant c’est faux, il existe plus d’une forme de traite des humain, certes en Europe et en Amérique du Nord le travail forcé et la vente d’enclaves ne sont pas le principales problèmes, mais la prostitution est un des principaux fléaux dans le domaine de la traite des humains, en 2014, 54% de la traite des humains était concentrer sur l’exploitation sexuelle. Je crois attirer votre attention sur le sujet en disant que par 2,5 millions d’êtres humains sont pris par la traite des humains chaque année.
Afin de réduire ce nombre de personnes, je propose de populariser dans les pays, une lois déjà bien établie dans certain endroits sur terre comme en Suède, où on ne puni pas les victime de prostitution, les prostitués, mais plutôt les personnes qui payent pour leurs services. Ils faudraient aussi intensifier les enquêtes criminels sur le sujet, car si les victimes ne se sentent pas aidé elles ne chercherons pas plus d’aide. Le moyen le plus efficaces envers la populations et les potentiels futur victimes, est de médiatiser le problème et de conscientiser les personnes à la cause.
Merci de m’avoir écouté, j’espère que nous prendrons ce problème plus au sérieux à l’avenir.